Post� par anarkorevolter le mercredi 30 septembre 2009 @ 17:46:07 (3333 lus)
Les bus, les métros, les périphériques, les
trains de banlieue sont pleins à craquer de salariés pris au piège de
la normalité. L’entassement, prix d’un calme fragile, prix de l’ordre.
Le sommeil qui ne vient pas, le sommeil interrompu à l’aube, prix du
calme.
Il ne faut pas chercher bien loin pour constater
les signes d’un consensus apparent ; au cours d’une manifestation, un
gréviste réagit à un slogan « A bas le travail » tagué sur les murs :
« Ce n’est pas bien, il ne faut pas dire ça ! » Pourquoi ce n’est pas
bien ? « Parce que c’est extrémiste ; il en faut du travail, il faut
travailler ! » Et pourquoi faudrait-il travailler ? « Il faut
travailler…mais parce qu’il FAUT TRAVAILLER ! » Brillante démonstration.
International : Retour des recuperations d'entreprises - Argentine
Post� par blackcat le mardi 05 mai 2009 @ 21:12:50 (2959 lus)
Les prises ou les occupations de fabriques qui se produisent dans le capitale et
dans le Grand Buenos Aires augmentent chaque jour. Au-delà des particularités de
chaque cas, il y a un dénominateur commun : devant l'abandon de la fabrique par les
patrons, les ouvriers résistent et luttent pour conserver leurs postes de travail,
et, arrivé le cas, se disposent à produire sans patron.
International : S�questration des patrons: Bien fait pour eux
Post� par blackcat le mardi 05 mai 2009 @ 06:05:55 (2432 lus)
La d�pression �conomique de 1929 avait amen�e les ouvriers � une nouvelle forme d�action directe: la gr�ve avec occupations d�usines. La crise actuelle pourrait bien aussi d�velopper de nouvelles formes de luttes plus radicales et mieux adapt�es � la situation actuelle. On rapporte en effet une vague de s�questrations de patrons dans l�hexagone, r�sultat de l�exasp�ration des travailleurs face aux licenciements en temps de crise.
Video : Ch�mage : La face cach�e de l�emploi
Post� par AnarchOi le lundi 04 mai 2009 @ 21:29:23 (2624 lus)
Dans l��mission Capital "Jobs, salaires, 35 heures : ce qui va changer..." sur (M6) vous pourrez prendre conscience de la r�alit� en place et comment cela va empirer, sans la protection de l��tat.
Avec la crise �conomique et financi�re qui s�installe, les temps sont de plus en plus durs pour les salari�s. Pour la premi�re fois depuis 15 ans, le ch�mage a connu sa plus forte hausse le mois dernier : 40 000 demandeurs d�emplois suppl�mentaires. Mais derri�re ces chiffres alarmants, une v�ritable r�volution est en cours sur le march� du travail. 35 heures : Est-ce d�j� la fin ? Thibaud Formery. Enqu�te sur les entreprises qui profitent du ch�mage. Claire Oudinot. Temps partiel : bon plan ou cauchemar ? Rola Tarsissi. S�nior dans l�entreprise : plus de 50 ans, au revoir ! Caroline Gauthier
Video : Harc�lement, violence psychologique : Le travail peut-il tuer ?
Post� par AnarchOi le vendredi 01 mai 2009 @ 13:27:57 (3581 lus)
ENVOYE SPECIAL (jeudi 31 mai 2007) une �mission sur les Suicides : et autour d�une question le travail peut-il tuer ? Le harc�lement moral, et la violence psychologique dans la vie personnelle et professionnelle sont-ils des fl�aux ?
Post� par blackcat le mardi 28 avril 2009 @ 15:19:38 (1863 lus)
Pourquoi manifeste- t- on le
premier mai ? Pourquoi l'appelle- t- on « fête du travail » ? D'où vient cette date ? Que cherche- t- on à nous faire oublier en
nous faisant promener ? Ce petit texte explique l'origine historique du Premier Mai.
Post� par AnarchOi le vendredi 14 mars 2008 @ 16:24:51 (2049 lus)
� Arbeit macht frei �, (le travail rend libre),
portail du camp de d�portation d�Auschwitz.
Naissance du � travail �
Notre monde moderne a plac� le travail au centre de son fonctionnement
en en faisant une cat�gorie anthropologique, c�est � dire une dimension
n�cessaire de l�humanit� de l�Homme. Le retournement copernicien a �t�
d�cisif pour nous sortir d�une �conomie de r�tention pour une soci�t�
mis�reuse et suicidaire o� l�activit� est exalt�e. Le travail met
l�existence au service de l�essence. Certes, le � mal � avait commenc�
avec le R�volution n�olithique et son passage � la s�dentarit� : il y a
moins d�espace pour plus de monde, il faut des surplus pour g�rer ces
frictions, que l�on r�alisera par l�agriculture et l��levage.
Rapidement les fronti�res, la hi�rarchie, la patriarcat et la
sp�cialisation (notamment religieuse et guerri�re), se mettent en
place. Finie la vie libre, voil� le labeur. Reste que le travail est
d�valoris�, laiss� aux esclaves ou aux basses castes ; pr�sent� comme
n�cessaire, mais d�gradant. La � modernit� � va tout changer.
International : Argentine, Espagne, France, Italie... des travailleurs � r�cup�rent � leurs entreprises
Post� par AnarchOi le samedi 09 f�vrier 2008 @ 22:09:08 (2448 lus)
Le phénomène est surtout connu en Argentine ou au Venezuela. Mais en Espagne, en Italie ou en France aussi des milliers de travailleurs récupèrent et réaniment leurs entreprises en faillite. Plutôt que d’être réduits au chômage, ils préfèrent les relancer collectivement en coopératives. Alors que les gouvernements de l’Union européenne semblent impuissants à sauvegarder ou à créer des emplois, pourquoi ne les encouragent-ils pas ?
International : Succ�s de la campagne "Roue Libre!", Autogestion d'une usine de v�lo en Allemagne
Post� par blackcat le mercredi 07 novembre 2007 @ 19:18:29 (2175 lus)
Velo greve : la production commence !
Les 135 travailleurs de l�usine de fabrication de v�lo Bike Systmes GmbH (dans la province de Thuringe Nordhausen en Allemagne) occupaient leur usine depuis le 10 juillet 2007. Ils voulaient ainsi emp�cher le d�mantelement d�finitif et la vente de l�usine, dont la mise en faillite avait �t� d�clar�e le 10 ao�t. Ils avaient d�cid� de reprendre la production en auto-gestion. A cet effet, ils avaient besoins d�une commande 1800 v�los pour le 2 octobre. Les travailleurs de l�usine, en collaboration avec le syndicat anarchosyndicaliste FAU, ont lanc� un appel � la solidarit�, relay� par la CNT-AIT en France.
Finalement, c�est le 22 octobre que l�usine de v�lo de Nordhausen a de nouveau repris son activit�. Les v�lo gr�ves seront produit, en totale autogestion et sans patron.